« Je rêve d’un été… pour la vie ! »

J’ai lu tous les romans de Céline Rouillé, une auteure dont j’aime beaucoup la plume et j’avais hâte de découvrir son petit dernier Un été pour la vie. Rien que la couverture donnait très envie ! Je remercie donc grandement City pour l’envoi de ce roman. Une bonne façon de prolonger un peu l’été, malgré le froid de canard qui s’est installé depuis quelques jours. Je suis ravie d’avoir pu partager cette lecture avec Mélanie, qui partage les mêmes goûts littéraires que moi.

Dans ce roman, on part à la rencontre de Lola, une jeune femme qui cache un lourd secret, au lecteur, mais également à ses amies, quelque chose qui l’a brisée et qui la pousse à se réfugier chez son grand frère, Ethan, un ours solitaire qu’elle n’a pas revu depuis des années. Les chapitres alternent entre le point de vue du frère, puis de la sœur. Chacun semble cacher des choses à l’autre, malgré l’amour fraternel qu’ils se portent l’un envers l’autre. J’ai aimé leur relation, ils se protègent sans forcément avoir besoin de mots pour le dire, parce que leur lien est très fort.

Je me suis immédiatement attachée à Lola, j’avais envie de comprendre ses failles, de l’aider car on sentait bien que cette tristesse qui l’habitait ne lui ressemblait  pas. J’avoue que j’avais deviné certaines choses avant la fin, ce qui ne m’a pas empêché de passer un très bon moment. J’ai adoré certains personnages et j’en ai détestés d’autres au fil des pages. Comme toujours avec Céline Rouillé, ses personnages ne nous laissent pas indifférent, parce qu’ils ont chacun ce petit truc qui les rend attachants ou détestables. J’ai d’ailleurs vraiment adoré le petit clin d’œil aux précédentes histoires de l’auteure, c’était un plaisir de retrouver Sarah et ses filles le temps de quelques pages…

Les chapitres sont assez courts et s’avalent rapidement. Même si ça se déroule en été, comme l’annonce le titre, c’est totalement le genre de roman doudou qu’il est agréable de lire sous un bon plaid ! Ces romans où tout est parfois trop beau pour être vrai, mais c’est pas grave parce qu’on passe un bon moment et il n’y a que ça qui compte.

Alors je finirai simplement par ces mots : vivement les prochains !

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